Tu me dis, j’oublie, tu m’enseignes, je me souviens, tu m’impliques, j’apprends.
Xun Zi – Penseur confucianiste IIIᵉ siècle av. J.-C
Convoquer nos jeunes à vivre une journée de commémoration, c’est leur léguer une page de l’histoire.
À la Cordée, on sonne le tocsin, c’est l’alarme… Départ pour une mise en scène d’un véritable appel à la mobilisation générale.
Toucher au cœur pour garder en mémoire
Pour lutter contre l’oubli des souffrances et des sacrifices de toute une génération, construire une identité nationale collective et garder en mémoire le souvenir de ce jour qui fait partie intégrante de notre histoire, tous les moyens ont été mis en oeuvre par l’équipe pédagogique.
Parcours d’entraînement avec barda, livret militaire, récit de tactiques et recherches généalogiques.
Grâce aux archives et photos de leur propre famille, de leurs aïeux partis en guerre, nos collégiens se sont imprégnés de récits qui constituent un pan de notre l’Histoire nationale, jusqu’à pouvoir ensuite la transmettre à leur tour.
Mohamed-Ali raconte l’histoire de son arrière arrière grand père
L’amour de la France, un de nos piliers
L’amour de la France, l’un des piliers de notre projet pédagogique, ne peut qu’être renforcé par une telle activité. Cet amour doit être ressenti et vécu et non seulement incité et certainement pas imposé. Il provient du cœur et doit s’imprégner dans l’esprit et dans le corps.
Faire de l’histoire une matière vivante
Enseigner l’histoire en la rendant vivante montre aux jeunes qu’ils sont un maillon d’une longue chaîne. Ils peuvent ainsi mieux s’identifier et développer leur attachement à la culture française.
De façon somme toute classique, les enjeux et les conséquences seront acquis mais nos élèves auront ce « petit quelque chose en plus » qui reste gravé dans la mémoire : l’émotion éprouvée, entre autres, par le dépassement physique, le courage, l’écoute, l’attention, l’esprit de corps, etc.
Autant de qualités auxquelles nous nous devons de rendre hommage au quotidien et encore plus un 11 novembre.